Réalisée le 24-25 juin 2024
Quel doux nom que le Glandasse ! Cette appellation ne peut qu'appeler à la découverte. Sorte de bout du monde pour les Isérois, porte d'entrée de la réserve des Hauts Plateaux pour les Drômois, cette montagne a une personnalité toute particulière, à mi chemin entre l'alpin et le méditerranéen. Des champs de lavandes de la vallée de Die jusqu'aux steppes arides des Hauts Plateaux du Vercors, une ascension et une traversée de cette montagne est un véritable voyage climatique et paysager.
Mais avant toute chose, nous allons nous atteler à débroussailler toutes les dénominations concernant cette région montagneuse. Le Glandasse, ou la Montagne du Glandasse, concerne la zone montagneuse séparant grosso modo la Cabane de Pré Preyret de la Cabane de Châtillon. Il s'agit d'une immense montagne surplombant à la fois une grande partie des Plateaux du Vercors (tout en y étant inclus) mais plus sensiblement les basses vallées du Pays Diois. Alors qu'elle est reliée par un plateau déformé aux restes de la réserve du Vercors, les falaises et les forêts de la Montagne du Glandasse chutent de plus de 1400m par endroit, notamment au-dessus de la Vallée de la Drôme et du Cirque d'Archiane. Il est d'ailleurs peu aisé de trouver la drôle d'étymologie de ce lieu. Certains prétendent que cela viendrait du Gaulois ''Glanna'' signifiant ''vallée'' ou ''rive'' : en soit la ''Montagne qui surplombe la vallée''. D'autres que le préfixe ''Gland'' est à relier tout simplement à la densité importante de chênes sur ses pentes Sud. En bref, rien avoir avec le fait de glander sur ce mont, d'autant que son ascension est loin d'être une mince affaire.
Le point culminant de la Montagne du Glandasse se situe sur sa partie Sud. Le sommet du Dôme, ou de Pié Ferré 2041m domine la petite bourgade de Die et la partie méridionale du département de la Drôme. Totalement situé dans ce dernier, Pié Ferré constitue le troisième plus haut sommet du département après le Rocher Rond 2453m et le Jocou 2051m.
Cette montagne a une importance tout particulière dans la culture et les traditions du Diois. Comme de nombreuses montagnes par delà les Alpes et le monde, le Glandasse peut faire la pluie et le beau temps : un nuage sur sa cime est le signe avant coureur de l'orage à venir, de même que le saupoudrage de son sommet et de ses vires annonce le début de l'hiver. De plus, les quelques sources qui suintent du Glandasse sont primordiales pour les vallées en contrebas, tout comme pour les randonneurs qui partent à l'assaut de ce mont chéri des habitants du Diois.
La Montagne du Glandasse est traversée du Nord au Sud par le Gr91 de la Traversée des Hauts Plateaux du Vercors et bien qu'elle loupe de peu le sommet de Pié Ferré, l'accès depuis Châtillon-en-Diois par le Gr est le plus emprunté. Il ne faut cependant pas oublier les nombreux pas et cols qui permettent des accès plus secrets, notamment sur son versant et ses falaises Ouest. Ainsi, pour éviter les foules arpentant le Gr91 mais également dans le but de faciliter la possibilité d'effectuer une belle boucle sur la Montagne du Glandasse, on ne partira pas du village de Châtillon-en-Diois, mais de la commune limitrophe de Laval d'Aix. De toute manière, que l'on parte de tel ou tel endroit, il faudra bien être conscient que l'ascension depuis les basses vallées drômoises sera une belle bavante. Mais la récompense sera de taille.
Jour 1 : L'ascension de Pié Ferré depuis Laval d'Aix.
Une randonnée à la journée est tout à fait faisable pour relier la vallée et le sommet. Cependant, on perd le charme d'un bivouac sur les Hauts Plateaux du Vercors. C'est pourquoi on ne commence qu'à la mi-journée notre ascension de Pié Ferré. Peut-être avons-nous omis la rude montée en versant Sud dans une ambiance bien provençale. Une bonne suée est à prévoir.
La Montagne du Glandasse depuis Laval d'Aix.
La chaleur n'est pas le seul indice pour attester de l'ambiance provençale et méditerranéenne au début de cette ascension. L'architecture des villages et la flore montrent bel et bien que nous sommes bien loin du climat purement alpin.
Champ de lavandes en montant au Col des Caux.
Depuis Laval d'Aix, on emprunte le Gr95 traversant les contreforts Sud du Vercors entre Saillans et Lus-la-Croix-Haute. On le suivra jusqu'au Col des Caux 1129m. Puis, quelques lacets après le col, on fera attention à une petite sente marquée d'un cairn. Celle-ci nous fera surplomber la Combe de Baïn.
L'été n'a pas encore grillé la flore de ce versant de la montagne. Il faut bien qu'il y ait des avantages à ces semaines pluvieuses. La végétation y est typiquement provençale : tin, genêts, chênes, buis, pins sylvestres et même de la lavande sauvage parsèment les bords de sentier et nous accompagnent lors de cette montée suffocante.
Vue sur le Petit Pestel et les quelques cimes des contreforts Sud du Vercors.
Les falaises du Roc d'Ambane, antécime de Pié Ferré, nous dominent ostensiblement de plusieurs centaines de mètres. Les bouffées de chaleur venant des vallées font gonfler la nébulosité sur les cimes.
Durant l'ascension, on alterne moments en sous-bois et divagations dans une sorte de garrigue préalpine. Bien que la chaleur soit écrasante lorsque l'on sort de la forêt, le sentier nous offre un magnifique panorama sur le Massif du Diois et notamment les Trois Becs que l'on observe au Sud-ouest.
Sur la partie droite de la photo, on peut même apercevoir le géant de Provence : le Mont Ventoux 1910m.
Non loin des 1500m d'altitude, un arrêt est O-BLI-GA-TOIRE à la Fontaine des Tuiles. Il s'agit de la dernière source que l'on croisera sur des kilomètres. Délicieusement fraîche et provenant du cœur de la montagne, cette eau est primordiale pour pouvoir continuer la traversée de la Montagne du Glandasse et bivouaquer là haut. Une fois sur le plateau sommital, il faut être très chanceux pour tomber sur une source.
Après cet rafraîchissant aparté, on se faufile encore entre quelques bosquets puis s'en est finis de la zone forestière. On s'approche vers le Col de la Raille, notre porte d'entrée vers le plateau.
Près du Col de la Raille.
Le caractère abrupt de la montée contraste avec la douceur et la vastitude de l'alpage de la Cabane de Châtillon. Véritable petit paradis sur Terre, la cabane semble protégée de toute part par des falaises infranchissables et le sommet de Pié Ferré bouchant l'alpage au Nord-Ouest.
Cette immense étendue verte invite à la flânerie pour y découvrir les différentes extrémités. On rejoindra ainsi dans un premier temps la terminaison du Gr91 en provenance de Châtillon-en-Diois pour ensuite nous rendre sur les remparts Est surplombant le Cirque d'Archiane.
Ce gros tumulus de pierres à gauche marque l'arrivée du Gr91 sur le plateau. En bas à droite, on devine les premiers bâtiments de Châtillon-en-Diois.
Les cabanes de Châtillon : une pour le berger, l'autre pour les randonneurs.
De l'autre côté de l'alpage, le Jocou 2051m reluit encore au soleil. Il s'agit du point culminant du Massif du Diois.
Compte tenu de sa position et de son altitude, mais en l'absence de nébulosité, le Grand Veymont et le Mont Aiguille dépassent tout juste des Hauts Plateaux au Nord.
Au centre, le Gouffre du Grand Assiriau. Derrière, le sommet de Pié Ferré domine l'alpage.
En s'approchant de la bordure orientale du plateau, le Cirque d'Archiane se dévoile petit à petit.
Comme une immense mâchoire dévorant le Vallon d'Archiane.
Ce sont des falaises de 400m en moyenne qui plongent des Hauts Plateaux en direction du petit ruisseau d'Archiane. Paradis des grimpeurs, des vautours, des bouquetins et des photographes, le Cirque d'Archiane est une nouvelle preuve de la splendeur géologique du Massif du Vercors.
L'alpage de la Cabane de Châtillon, au loin le Diois et le Dévoluy.
On scrute l'évolution du temps au-dessus du Vercors. Les nuages sont nombreux, les principaux sommets du Dévoluy, des Écrins et du Taillefer sont absents du panorama. En effet, une dépression tournoie au-dessus du Golfe de Gênes, rabattant les nuages et les pluies sur l'Arc Alpin, notamment les massifs frontaliers et intérieurs. Du côté des Préalpes, les restes de cette perturbation semblent se disloquer sans tourner à l'orage. On opte donc pour une ascension finale de Pié Ferré afin d'y établir notre bivouac.
Le plan B en cas d'intempéries aurait été de pousser la porte de la Cabane de Châtillon. Abri typiquement vertacomicorien, assez rustique où trône une table, des bancs et un poêle. Une dizaine de couchages sont possibles même si aucun matelas n'est présent. Les affaires de bivouac sont donc dans tous les cas indispensables.
Dès les premiers mètres en direction du sommet, le plateau s'élance dans notre dos. Comme un immense paquebot voguant sur le Diois, ce plateau semble impénétrable depuis ses rives. Finalement, c'est un paysage que l'on peut assimiler aisément au Mont Aiguille et son plateau sommital, version XXL.
Près du Roc d'Ambane, nous voilà quasiment à la hauteur des nuages.
Entre les quelques pins à crochet qui subsistent sous le sommet, on aperçoit pour la toute première fois le Mont Aiguille au loin. Encore décapité par la nébulosité venant du Nord et de l'Est.
Difficile de faire plus débonnaire comme sommet. Alors que son plateau est encadré de parois vertigineuses, Pié Ferré est une immense butte herbeuse. Une fois sur sa cime, pas de croix, pas de signalétique, un seul gros cairn marque la terminaison de cette ascension.
Il ne nous reste plus qu'à contempler le panorama à 360° quelque peu perturbé par une incessante danse des nuages. La petite bise qui l'accompagne nous invite à planter la tente quelques mètres en contrebas du sommet tout en conservant une ample vue sur les environs.
Vers le Nord et les Hauts Plateaux.
Vers le Sud et la Cabane de Châtillon.
Bivouac près de Pié Ferré.
Malgré un sommet qui semble battu par les vents et sans source d'eau, la flore alpine y prolifère. On y observe une diversité sans pareille : Gentianes, Globulaires, Orchis, Silène et mêmes de nombreux plants d'Edelweiss.
Pour le coucher du soleil, on se rapproche du sommet et de son panorama. Même si une belle lumière vespérale envahit par moment les hauts plateaux, les nuages restent prédominants. On patiente tout de même jusqu'au bout pour capturer ces quelques illuminations.
Quelques orages ont tout de même réussi à éclater sur les hauteurs du Gapençais, du Buëch et des Baronnies Provençales. Côté Sud Vercors, on y échappe. La fin de journée signe la fin du développement de la nébulosité estivale.
Finalement les plus belles luminosités seront à l'Ouest au-dessus du Diois et de la proche Vallée du Rhône.
Jour 2 : La traversée de la Montagne du Glandasse entre Pié Ferré et le Col des Bachassons.
Comme la plupart des fins de nuit estivale le promettent, la nébulosité de la veille s'est évaporée au-dessus du Vercors. Quelques bancs de nuages élevés et bas rodent ici ou là, mais pas de quoi brouiller le magnifique panorama. Le soleil n'est pas encore sorti de derrière les lointains sommets mais ses lueurs envahissent déjà les différents massifs alpins et décalquent les plus illustres montagnes du coin.
Il est 5h30. On patiente quelques minutes pour apprécier le spectacle.
En direction du Nord, alors que les hauts plateaux sont encore dans l'obscurité, les cimes du Vercors s'érigent dans les lueurs de l'aube : Grande Moucherolle, Grand Veymont, Mont Aiguille, Tête Chevalière.
Le soleil devrait émerger quelque part derrière les massifs de Belledonne, du Taillefer et des Grandes-Rousses.
Sur les autres massifs, les couleurs sont moins flamboyantes. La barrière du Dévoluy et le Jocou bloquent les nappes de nuages bas dans les plaines du Trièves.
Contre toute attente, ce sont les Trois Becs 1589m qui sont les premiers à être illuminés. Bien loin de toute la nébulosité qui erre au-dessus des Alpes intérieures.
Dernier panorama avant l'émergence de l'astre.
La lumière pénètre enfin sur les Hauts Plateaux du Vercors, accompagnée de quelques brumes matinales, notamment du côté du Pas de l'Aiguille.
Contrairement aux hauts plateaux, les vallées plus profondes et les petits plateaux drômois de l'Ouest du massif dégueulent leur chapes de brume sur les contreforts Sud.
Plus au Sud encore, les rayons baignent enfin la totalité du plateau du Glandasse. La montagne scinde les basses et les hautes Alpes, les lumineuses et les obscures.
Quelques chamois (sur la droite de la photo) viennent même nous saluer près du sommet avant notre départ définitif de Pié Ferré.
La suite du parcours se fera en direction du Nord. On traversera la Montagne du Glandasse via le Gr91 tout en essayant, à un moment ou à un autre, de basculer de nouveau vers la Vallée de Die. De nombreux passages existent, le premier étant celui du Malcollet juste au Nord du sommet de Pié Ferré, et le dernier le Pas de Chabrinel au niveau de la Cabane de Pré Peyret. La première option est éliminée de suite car trop proche du sommet. La dernière également car trop éloignée et elle rendrait difficile le retour au point de départ de la randonnée. Il nous faudra trouver un autre point de chute. Dans tous les cas, nous réaliserons une longue traversée entre les sciallets, les dépressions, les lapiaz et les gouffres qui jalonnent ce large plateau du Glandasse.
Dans un premier temps, on descend de la butte sommitale pour rejoindre le Gr91 caché quelque part entre les pins à crochet. Quelques cairns peuvent aider à le rallier mais une fois sur le sommet et en regardant vers le Nord, il suffit de partir sur la droite et vous y mettrez pied automatiquement.
Dernier regard sur les hautes cimes du Vercors.
Le sentier ne présente pas de difficulté majeure mise à part la glissade sur des rochers ultra polis par les foules arpentant la célèbre Traversée des Hauts Plateaux du Vercors. On divague sur un terrain valloné, sans grandes dénivellations positives ou négatives.
D'immenses cairns guident par moment les randonneurs. On en trouve des dizaines sur les Hauts Plateaux. Et bien que sur le Gr91 soit magnifiquement bien indiqué, ils peuvent être d'une grande utilité par temps brumeux et sur d'autres zones de la réserve où les sentiers et la signalétique font défaut.
Sur les premiers kilomètres, on reste en bordure de la montagne. Cela nous offre une un beau belvédère sur l'illumination progressive du Pays Diois. Puis, avant d'atteindre le second point haut de la montagne, le Roc de Peyrole 2016m (que l'on aperçoit sur la photo du dessus), on bifurque quasiment au centre du plateau. Au niveau de la Montagne de Die, on chute de quelques centaines de mètres pour rejoindre d'autres plateaux sous-jacents.
Les nuages tentent une incursion sur les Hauts Plateaux. Les fortes chaleurs à venir et l'humidité ambiante les aideront.
Les Rochers du Plautret 1827m se dévoilent lors de la descente.
Après une traversée de 7km à travers la Montagne du Glandasse, une porte de sortie s'offre à nous pour basculer sur le flanc Ouest du massif. Le Col des Bachassons, à ne pas confondre avec le Pas des Bachassons près du Grand Veymont, voit un sentier se faufiler dans une faille de la paroi entre les Rochers du Plautret et les Rochers des Traverses. Il existe également d'autres échappatoires, près du Pison notamment, mais cela rallongerait un peu trop le parcours pour retrouver Laval d'Aix.
On part donc à la recherche du Col des Bachassons. Dès que l'on sort du Gr91, les sentiers se font plus discrets et les indications quasi inexistantes. La carte peut être très utile à ce moment là pour savoir où se situe la bifurcation.
Une fois la pente du Gr91 terminée pour rejoindre le reste des plateaux, on croise sur le côté du chemin quelques bergeries en ruine. Les cartes IGN nomment ce lieu ''la Jasse de la Ville''. Près de ces ruines, une timide sente et quelques cairns permettent de relier le Col des Bachassons. Autant dans l'alpage de Jasse de Ville le sentier est presque invisible, autant une fois les ruines passées, les cairns sont bel et bien présents, et en nombre.
Avant d'atteindre le col, on croise une troupeau de moutons gardés par deux chiens de berger. Après quelques aboiements, les deux molosses finissent par se rapprocher sans agressivité, acceptent même quelques caresses et nous accompagnent sur quelques dizaines de mètres vers le col.
Dernière vue sur le Grand Veymont 2341m, point culminant du massif.
En haut : les Rochers des Traverses.
En bas : Les Rochers du Plautret et la Dent de Die.
En franchissant le col, on plonge dans l'ombre de la montagne. On rejoint quelques acrobates des vertiges recherchant la fraicheur.
On passe légèrement en contrebas de ces derniers, scrutant attentivement qu'une des pierres qu'ils font dévaler lors de leurs grimpettes dans les parois ne se dirige pas vers nous.
Rapidement, on atteint le sentier principal au niveau du croisement des Charbonnières. Cette fois-ci, plus question d'aller vers le Nord, on oblique au Sud en suivant le beau sentier tracé qui longe en balcon les forêts situées sous les imposantes parois de la Montagne du Glandasse.
Une fois encore, peu de dénivelés mais une bonne dizaine de kilomètres à avaler pour arriver au-dessus de Laval d'Aix. Heureusement, ce sentier n'est pas intégralement en sous-bois. De nombreux points de vue parsèment ses portions. On retrouve par la même occasion la végétation provençale.
La Dent de Die 1640m.
Au delà des points de vue, l'avantage de ce sentier permet de traverser plusieurs ravins où s'écoulent de nombreuses sources. Avec ce printemps et ce début d'été humides, les sources ne sont pas taries. Il doit en être probablement autrement au coeur et à la fin de l'été.
Trois cols seront franchis pour relier Laval d'Aix : Le Col de Ménil, le Col Fauchard et le Col de l'Abbaye. Ce n'est vraiment que sur les deux derniers que l'on perd véritablement de l'altitude alors que la température augmente quant à elle. Et c'est sous un soleil écrasant que nous terminons cette randonnée dans le petit village du Pays Diois. Alors même que les cimes du Vercors, et la Montagne du Glandasse notamment, se voient englouties par des nuages se développant au fur et à mesure de la journée.
On finit cette traversée sur une belle boucle de 33km autour de la Montagne du Glandasse. De quoi bien découvrir les moindres recoins de cette montagne emblématique du Vercors Sud. Un départ du côté d'Archiane est également possible pour profiter plus amplement du cirque et de ses parois. Cependant les possibilités d'effectuer des circuits sont un peu plus compliquées. De même, cette randonnée peut être raccourcies pour être plus facilement accessible, à la journée notamment. Sachez que le lieu le plus spectaculaire correspond à la partie Sud de la montagne, encadrée par le sommet de Pié Ferré et l'alpage de la Cabane de Châtillon. Une sorte de ''meilleur pour la fin'' si vous vous apprêter à vous engager sur la Traversée des Hauts Plateaux du Vercors depuis le Nord.
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Commentaires
Bravo 👏
Tu as pensé à Valérie 😅
Je la ferai bien 🫠
Pas encore en fleur les lavandes, limite ?